Aïn Arik, Jifna : deux villages à quelques encablures de Ramallah. Deux écoles du Patriarcat latin dont les élèves, après la 6e, poursuivent leur études à Ramallah où la langue française est enseignée depuis la maternelle.
Il y a 18 mois, afin d’aider ces élèves à avoir des bases en français, le Bureau des Écoles du Patriarcat latin entre en lien avec La DCC. Cet organisme propose à Marion de Tonquédec, professeur d’Histoire-Géographie dans l’Enseignement catholique de Paris, d’y démarrer des cours de français.
Depuis quelques semaines, Raghad, une Palestinienne de Ramallah, a pris la place de Marion. Heureuse dans son rôle, Raghad est toujours à l’affut d’outils pour intéresser les enfants à l’apprntissage de cette langue parfois ardu. ici, les Jeux olympiques sont un bon moyen d’apprentissage des couleurs, des nombres, le tout sous le soleil.